Ce mois-ci découvrez une boutique située à Larmor-Plage tout près de Lorient ville natale de Christine Dattner !
Cécile Gaultier tient cette boutique depuis maintenant 3 ans où elle compte plus de 70 références des Thés Christine Dattner
« Ce que j’aime dans les thés Christine Dattner, c’est leur subtilité. »
Son favori ? Le thé noir aromatisé caramel au beurre salé : Pour Cécile Gaultier, « ce n’est pas un simple thé au caramel : au nez, puissante odeur de caramel, à l’infusion c’ est la crème fraîche qui ressort et en bouche on retrouve le caramel au beurre salé dans toute sa splendeur ! »
Avec plus de 600 clients professionnels, les Thés Christine Dattner ont bâti un réseau de partenaires dans la France entière mais aussi en Suisse, au Brésil , au Japon et en Corée du Sud. Nous avons pour objectif de vous faire découvrir nos ambassadeurs et leurs comptoirs. Des passionné(e)s qui ont à cœur de vous partager leur univers !
Grande consommatrice de café et de thé, c’est en 2014 que Morgane Peuziat se lance dans l’aventure ! Depuis 6 ans les Thés Christine Dattner occupent une place particulière dans sa boutique située à Sens. Pour Morgane Peuziat, « le thé représente l’alliance entre ce que l’on sent et ce que nous retrouvons en bouche »
Son bestseller est le thé « Le Tigre qui Pleure » qui fait partie de nos 179 références commercialisées dans sa boutique.
Le printemps sera cette année célébré par les Thés Christine Dattner avec notre nouvelle boîte laquée : Printemps à Nagoya. Dans cette boîte, nous avons créé un subtil mélange de thé blanc-vert aromatisé à la fleur de cerisier japonais (sakura) a l’orchidée et la rose.
Le design réalisé conjointement avec Christine Dattner et la talentueuse illustratrice Oriane Dirler propose d’évoquer l’incontournable ville de Nagoya et sa région spécialisée dans la porcelaine, les laques et la poterie avec la célèbre théière poêlon symbolisée sur notre boîte Printemps à Nagoya.
Située à 1h50 de Tokyo en Shinkansen (le TGV japonais),
Nagoya est une ancienne ville fortifiée. Elle dispose de son propre château,
que vous retrouverez sur notre boîte.
Le Château de Nagoya (source 名古屋太郎 – Wikipédia)
Pendant la période Edo (1603 – 1867), de nombreux seigneurs
féodaux ont incité et invité les potiers à se rendre sur leurs terres, afin de
produire des céramiques d’exception. Le raffinement des poteries, laques et
céramiques japonaises sont une distinction de cet artisanat apprécié des connaisseurs
et des collectionneurs.
La théière poêlon porte le nom de Kyûsu. Cette théière de forme atypique pour les Occidentaux est spécifiquement japonaise. Elle est en terre cuite, contrairement aux théières en fonte japonaises mondialement diffusées. Cette forme poêlon est principalement réservée aux thés verts. La petite contenance de la théière et la poignée décalée du bec verseur sont l’ADN de cet artisanat localement situé à proximité de Nagoya, sur l’île principale de Honshu, dans les villes de Tokoname, Tamba, Seto et Echizen Bizen.
En dégustant cette nouvelle création subtile, vous retrouverez
les images ancestrales de ce pays raffiné, qui vous emporteront à chaque gorgée
dans les effluves du printemps à Nagoya…
Dans la famille Dattner Pascucci, Clément Dattner est le cadet de Christine Dattner Pascucci. Passionné lui aussi par l’univers du thé, il occupe au sein de l’entreprise une place stratégique.
Christine Dattner Pascucci et Clément Dattner au SIAL (Salon de l’Alimentation)
Il assure les contacts clients dans le cadre des commandes et le bon acheminement des livraisons, mais a également la lourde responsabilité des tâches administratives et comptables que nécessite la gestion de notre entreprise.
Les voyages commerciaux sont au programme de ses prérogatives professionnelles comme ce fut le cas en novembre dernier au Japon. En compagnie de sa mère, Clément y a rencontré nos partenaires nippons. A cette occasion, il s’est imprégné de l’atmosphère des plantations de thés japonais si particulières, sur l’ordonnancement et la régularité de la taille mécanisée des théiers. Un voyage instructif qui lui a permis de renforcer nos liens avec le pays du soleil levant.
Clément Dattner dans les plantations japonaises à Kyoto
Clément Dattner est très présent sur les plateaux de nos salons professionnels. Ne manquez pas de le contacter, puisqu’à présent vous le connaissez mieux !
Les Thés Christine Dattner, c’est une histoire de famille. Elle commence en 2013, avec Christine Dattner Pascucci mais aussi son époux, Dominique Pascucci. Co-fondateur de la maison de thés, il a été, avant d’être aujourd’hui un acteur du thé, un professionnel des médias.
Son parcours de plus de trente ans comme journaliste et grand reporter de télévision l’a emmené de TF1 à Télé Lyon Métropole, en passant par Télé Caraïbes International où il occupait le poste de directeur d’antenne, puis France 3 Rennes et Paris où il était chroniqueur sur des rendez-vous hebdomadaires et des émissions quotidiennes.
Aujourd’hui, Dominique régit la Direction de la Communication des Thés Christine Dattner. Une tâche qu’il mène avec le souci d’inscrire son identité dans l’esprit d’une entreprise familiale proche de l’humain, à travers un storytelling qu’il a débuté il y a déjà 7 ans.
Dominique Pascucci, Karine Arsene et Katia Barillot
Ses priorités ? Définir une ligne
éditoriale avec un visuel fort et reconnaissable tout en évitant les clichés de
la communication traditionnelle associée au marché du thé, mais aussi placer l’innovation
et les outils numériques au cœur de la stratégie, avec une équipe réduite mais
très créative sur les réseaux sociaux.
Il a également coutume de nous rappeler la modestie qu’il y a à traiter cette culture du thé en rappelant les premiers mots de son épouse, rencontrée il a 19 ans : « Il faudrait toute une vie pour connaître l’intégralité des thés de Chine. »
Ce que Dominique souhaite avant tout, c’est vous faire aimer le thé, ses couleurs et son univers, vaste comme le monde.
Au mois d’octobre 2018, Christine et son fils Clément Dattner se sont envolés pour le Japon. Direction Kyoto ou plutôt Uji, berceau du thé vert japonais, pour (re)découvrir ses superbes plantations de théiers.
Un peu d’histoire
Le thé fut introduit au Japon par des moines bouddhistes de retour d’un voyage de Chine, au IXème siècle. On raconte que le moine Ei Chu fit goûter la première tasse de thé à l’empereur Saga (786-842). En vérité, c’est bien plus tard, au XIIème siècle, que la culture du thé se développa dans l’archipel, avec par la suite la création de sa première école dédiée puis d’une cérémonie unique, celle du thé Matcha, par le maître de thé Sen no Rikyu.
Aujourd’hui, la ville d’Uji abrite les plus anciennes (Xème siècle) et les plus précieuses plantations de thés verts du Japon. Ses jardins formés de jolis buissons arrondis en raison de la taille mécanique sont cultivés avec minutie : des ventilateurs repoussent les brumes matinales, les machines utilisées pour la récolte sont à la pointe de la technologie… chacun œuvre pour accorder tout son prestige au thé.
Une fabrication authentique
Le thé vert est un thé non oxydé. Une attention toute particulière doit être apportée à chaque geste précis effectué afin d’en préserver toute la saveur et tous les bienfaits. Une longue et riche expérience donnera toute sa valeur à ce procédé. Tout d’abord, les feuilles sont chauffées à 100°C pendant quelques secondes ou quelques minutes selon les cas, afin de prévenir toute oxydation. Ensuite, les feuilles sont roulées puis saisies à la vapeur à plusieurs reprises, dans de grandes cuves cylindriques.
Les thés japonais sont principalement des Sencha, autrement dit, des thés dont les feuilles sont aplaties dans le sens de la longueur. On dit qu’elles sont roulées en « sourcil du Bouddha ». C’est cette étape de fabrication qui conditionne le goût du thé, le rendant plus fort si la feuille est très travaillée, plus doux si le roulage est léger.
Le matcha, est quant à lui, très répandu au Japon et fait son entrée progressivement en Occident. Il s’agit d’un thé vert réduit en poudre, historiquement broyé sur une meule de pierre, dont la qualité est extrêmement variable, selon le type de thé utilisé.
Les différents thés japonais
Le Japon est considéré comme le pays du thé vert et principalement de Sencha, qui représente 75 à 80% de sa production. Voici un petit inventaire des principaux thés japonais :
Le Gyokuro, ou « perle de rosée » Le meilleur thé vert du monde
Le Sencha Genmaicha Un Sencha accompagné de grains de riz grillés et de maïs soufflé aux feuilles de thé
Le Bancha Hojicha Un thé torréfié, faible en théine et parfait pour accompagner le poisson cru
Le Sencha Fukuyu et le Sencha Yamato Deux excellents Sencha aux notes iodées et végétales.
Le Matcha L’âme de la cérémonie du thé japonaise, tantôt léger (usucha), si ses feuilles sont issues de jeunes arbres, tantôt corsé (koïcha), s’il contient des feuilles de vieux théiers.
Nos thés verts japonais
Le Sencha Genmaicha Ce Sencha du Japon est parsemé de grains de riz soufflés et de grains de riz grillés. Cet étonnant mélange lui donne un goût si particulier, à déguster chaud ou glacé.
Température:
70°C
Temps d’infusion:
2 à 3 minutes
Le Bancha Hojicha Un incroyable thé vert grillé du Japon à très grandes feuiles. Idéal pour le début de soirée, ce thé est faible en théine.
Température:
80°C
Temps d’infusion:
4 à 5 minutes
Le Sencha Fukuyu Très vert en tasse, ce thé est puissant et riche en chlorophylle. Il se déguste volontiers le matin et jusqu’en début d’après-midi.
Température:
60°C
Temps d’infusion:
2 minutes
Satsuma Un thé vert aromatisé à la mandarine, au yuzu et parsemé de fleurs de sakura, inspiré de la province de Satsuma, où sont produites les mandarines.
Température:
70°C
Temps d’infusion:
3 minutes
Jardin de Kyoto Un thé vert aromatisé à la fleur de cerisier et parsemé de pétales. Un délice à déguster le matin pour se réveiller tout en douceur.
Aujourd’hui, c’est bientôt Noël, ou comme le célèbrent nos cousins canadiens « le temps des fêtes » ! C’est, depuis le XXème siècle, plus éloigné de l’aspect chrétien, dilué aujourd’hui dans une grande fête hivernal, associée à la semaine qui précède le nouvel an.
Cette région, que l’on appelle aussi « montagnes bleues » est située au sud de l’Inde. Ses quelque 30 000 jardins, situés à une altitude de 1 300 à 2 300 mètres, sont absolument magnifiques. La production annuelle du Nilgiri atteint près de 180 000 tonnes.
L’Assam est la plus importante région productrice de thé au monde. Près de 600 000 tonnes y sont manufacturées chaque année, soit la moitié de la production indienne.
L’Inde est le plus important producteur de thé noir au monde, mais le troisième exportateur seulement, car les Indiens consomment beaucoup de thé, et tout au long de la journée. On dénombre trois principales régions productrices : Le Darjeeling, l’Assam et le Nilgiri.
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